1 club 1 coup d’🧡 Rolls Royce Enthusiasts’Club, section France

Oct 16, 2023 | 1 club 1 coup d'🧡, Actualités

 

 

Le Rolls-Royce Enthusiast Club en France : Célébrant l’Excellence Automobile

La passion pour les Rolls-Royce anciennes et classiques est une source d’inspiration pour de nombreux amateurs de voitures à travers le monde. En France, cette passion est célébrée et partagée au sein du Rolls-Royce Enthusiast Club (RREC) Section France, une communauté dévouée et vouée à l’appréciation, à la préservation et à la célébration de ces joyaux de l’automobile.

Une Communauté de Connaisseurs

Le Rolls-Royce Enthusiast Club a été fondé en 1957 au Royaume-Uni et a rapidement établi des branches dans le monde entier. La Section France, créée en 1987, est l’une de ces branches florissantes qui s’est consacrée à la préservation du patrimoine automobile Rolls-Royce et à la promotion de l’excellence qui caractérise cette marque prestigieuse.

La Beauté de l’Art Automobile

Les membres du RREC Section France partagent une profonde appréciation de l’art automobile incarné par Rolls-Royce. Ces véhicules sont bien plus que de simples moyens de transport, ce sont des œuvres d’art roulantes. Le souci du détail, la qualité exceptionnelle des matériaux, et le savoir-faire artisanal qui les caractérisent en font des pièces uniques d’ingénierie et de design.

Événements et Rencontres

L’une des caractéristiques essentielles du RREC Section France est l’organisation régulière d’événements, de sorties et de rencontres qui réunissent les membres autour de leur passion commune. Ces rassemblements offrent une occasion précieuse d’échanger des anecdotes, des conseils et des connaissances sur les Rolls-Royce. Les propriétaires de Rolls-Royce anciennes et classiques ont l’opportunité de présenter leurs véhicules et de les admirer sous toutes leurs coutures.

Concours d’Élégance Chantilly, tradition essentielle 🥰

Les concours d’élégance sont des moments forts de la vie du club, mettant en lumière la beauté et la classe intemporelle des Rolls-Royce. Les membres participent avec enthousiasme en présentant leurs voitures pour être évaluées et récompensées en fonction de leur état, de leur originalité et de leur élégance. Ces événements sont l’occasion pour les propriétaires de montrer le fruit de leur dévouement à la préservation de ces véhicules extraordinaires.

La Promotion de l’Histoire Automobile

Le RREC Section France joue également un rôle essentiel dans la promotion de l’histoire automobile, notamment en organisant des expositions et des événements ouverts au public. Ces occasions permettent aux passionnés de voitures anciennes de découvrir le patrimoine riche et fascinant de Rolls-Royce, ainsi que l’importance de ces véhicules dans l’histoire de l’automobile.

L’Entraide et le Partage

L’une des valeurs fondamentales du club est l’entraide entre les membres. Les propriétaires de Rolls-Royce anciennes et classiques rencontrent parfois des défis lors de la maintenance ou de la restauration de leurs véhicules. Au sein du RREC Section France, ils trouvent un réseau de soutien où les connaissances et l’expérience sont partagées pour aider à résoudre ces défis techniques.

La section France FR, un maillon d’une communauté mondiale.

Bien que la Section France du Rolls-Royce Enthusiast Club ait ses propres événements et activités spécifiques, elle fait partie intégrante d’une communauté mondiale de passionnés de Rolls-Royce. Les membres français ont l’opportunité de participer à des événements internationaux, d’échanger des informations avec d’autres sections du club dans le monde entier et de partager leur amour pour ces voitures d’exception à l’échelle mondiale.

Le Futur de l’Excellence Automobile

Alors que le Rolls-Royce Enthusiast Club Section France continue de grandir et de prospérer, il s’assure que l’héritage de Rolls-Royce est préservé pour les générations futures. Cette communauté dédiée perpétue la tradition de l’excellence automobile en maintenant ces véhicules magnifiques en état de marche et en transmettant leur passion à de nouveaux amateurs.

le Rolls-Royce Enthusiast Club Section France incarne la passion, l’engagement et la célébration de l’automobile ancienne à son plus haut niveau. Cette communauté unique en son genre réunit les amoureux de Rolls-Royce pour partager l’héritage et la beauté de ces voitures légendaires, préservant ainsi une partie précieuse de l’histoire automobile pour les générations futures.

 

Pierre D’Allest et  ses châteaux roulants !!! Quelle histoire…

L’été 1976, une grande sécheresse s’était abattue sur la France.
Chaleur épouvantable, interdiction d’arrosage des jardins, et plus encore le lavage des voitures. VGE depuis le bureau de l’Elysée nous incitait de sa voix chuintante à absorber l’impôt sécheresse. Dans la cour du palais, le ballet ministériel des 604 sl vert fumé, l’antenne téléphonique ressort au milieu du coffre arrière, des CX Prestige de la première version à toit plat et des éternelles DS noires gaulliennes encore fort présentes, s’agitait fébrilement pour « pondre » ce nouvel impôt sous la houlette de Raymond Barre, qui roulait encore en DS 23 i.e.

Les plages de Cannes devenues une rôtissoire, limite Moulinex en inox massif-c’était la grande mode du poulet grillé- mes grands-parents, chez qui j’étais en vacances, à Fayence, ne m’emmenaient plus nous baigner sur la Croisette ou à Mandelieu La Napoule (selon l’humeur de mon grand-père, la circulation et le parking pour garer la 504 TI).

Hors de question de se brûler la peau dixit mon grand-père, médecin pneumologue et ma grand-mère pharmacienne de surenchérir : tu restes à l’ombre, pas de soleil et sieste. Mon grand-père eût la judicieuse idée de me faire ranger et classer sa bibliothèque.


Un vrai mélange de livres anciens, classiques, romans, thèses de médecine, revues musicales, bref, un parking de livres éclectiques. Enchanté de fuir le salon où il écoutait Olivier Messiaen, Chostakovitch et autres « chercheurs musicaux », à fond. Non par surdité, mais disait-il : la musique ?! cela s’écoute fort pour s’en imprégner…

Ce vacarme dodécaphonique faisait aussi fuir ma grand-mère dans sa chambre où elle scrabblait face à elle.

Au milieu de Voltaire, Camus, Agatha Christie, Montherlant, les 2 Peyrefitte, un titre pas sérieux m’attira. Le Pirate d’ Harold Robbins édition Belfond 1975 : la couverture me tétanisa. Elle représentait une Silver Shadow noire, pare-chocs chromés, intérieur magnolia. L’illustration de la richesse des années 70. Le symbole absolu. La Rolls : un vrai terme générique.

Comme un talisman, je l’emportais dans ma chambre et le dévorais. Ce roman était une vraie salade niçoise de SAS, les saoudiens sadiques, sexe, pétrole et cie. Un remarquable navet au beurre frais. Posant la couverture sous la lampe de chevet en cuir vert 1950, à la manière d’une image pieuse de Sainte-Thérèse de Lisieux, c’était limite que je me signât devant chaque soir.

Le raccourci était fait. J’avais 12 ans. Les Rolls vues sur la Croisette, devant le Carlton, à l’ombre des palmiers, se retrouvaient condensées dans ce bouquin. Résultat je passais l’été à lire toutes les « conneries » de la bibliothèque et aucun classiques. Sans imaginer un instant en posséder une. L’idée était tellement loin de moi. Avoir une Rolls, c’est pour les grands.


Février 1977, au collège un copain m’apporte une pleine page du Figaro annonçant la sortie de la Silver Shadow 2. En gros plan, le museau de la Rolls noire avec son nouveau pare-choc. Aussitôt pris d’une boulimie de possession, je lui demande de m’apporter toutes les publicités. Au bout d’un mois, j’en avais dix ou douze. Mon père lisant le Monde, je n’ai pas souvenir de l’avoir vue dans ce journal. Ou peut-être en encarts de petite taille. En revanche,  j’avais bien noté dans mon inconscient le nom du concessionnaire : Franco- Britannic à Levallois. L’idée germait doucement mais si lentement.

 

1978: l’année des cataclysmes dans la réalité et dans ma tête.


Le 23 janvier 1978, l’enlèvement du baron Edouard-Jean Empain me fascine et m’interpelle. Le chauffeur, la 604, le 33 avenue Foch. Au collège, les élèves ne parlent que du petit doigt. Moi c’est la 604 qui me pose question : est-elle garée à l’abri ?


Le 11 mars 1978, la mort de Claude François dans sa baignoire, boulevardd Exelmans, me perturbe beaucoup. Tous ses tubes repassent en boucle résonnant dans ma tête. Roger Gicquel nous sort déjà des archives. La Mercedes 450 sel 6.9 noire (ou bleue marine) immatriculée 327 BJX 75, conduite par Claude François en pull rouge, s’élançant dans le souterrain du bd des Maréchaux me tétanise une seconde fois après la Shadow noire du pirate. Ma voisine de classe arrive en larmes au lycée l’après-midi : oui elle aimait Cloclo.
M’avouant être allée assiéger son immeuble avec les autres favinettes.

D’ailleurs j’aimerai la revoir 42 ans plus tard…juste pour voir la tête qu’elle a.

Ecoutant plus que distraitement la prof de sciences nat, l’image de Cloclo décrochant le téléphone Thomson CSF en bakélite noire au volant de sa 6.9 tourne en boucle dans ma tête. Alors que la brune voisine pleurniche, les jantes alliage et l’antenne de téléphone me fascinent toujours plus.


Le 1er août 1978, tout Saint-Tropez danse sur Supernature de Cerrone. Sa photo, posant assis sur le capot de sa Shadow, glanée dans Paris-Match me tétanise à nouveau. Mais moi je ne danse pas chez mes grands-parents. C’est lecture, musique dodécaphonique (aie aie) et les jeux de 20 Heures, suivis d’ Au théâtre ce soir avec Jacqueline Maillan qui m’enchante. Exceptionnellement Numéro 1 de Gilbert et Maritie Carpentier spécial Mireille Mathieu, Sylvie Vartan, ou Sheila. (Petite parenthèse : son mariage avec Ringo, en Silver Shadow 2 jaune paille…)
Le 20 décembre 1978, le premier épisode de Sam et Sally avec Corinne le Poulain et Georges Descrières circulant en Excalibur, me tétanise à nouveau. En arrière fond, les Shadow pare-chocs chromés sont nombreuses dans les rues de Paris 8, 16 et 17 èmes. Déjà, elles ont un air d’avant, une petite chute sociale ; qui instinctivement me fait penser qu’un jour peut-être… je pourrai en avoir une…


Le 16 janvier 1979 : la chute du Shah d’Iran me préoccupe. Amateur éclairé de belles automobiles, il représentait le bon mariage Orient-Occident. Après son exil, des reportages apparaissent çà et là. A la lecture d’un Paris-Match, une photo de sa villa de Saint-Moritz, devant laquelle son garées une Corniche cabriolet noire et une Shadow, sous la neige, me tétanise à nouveau.


Au cours de l’été 79, Jours de France, dans la rubrique d’Edgar Schneider, passe une photo de Shirley Bassey devant l’hôtel de Paris à Monte Carlo, debout dans sa Corniche cabriolet noire, parechocs chromés.
C’en est trop pour moi !


Le temps file, je ne me souviens plus si c’était en décembre 1979 ou 1980, mon ami d’enfance s’était entiché d’un stylo vu dans la première boutique Bulgari, ouverte dans un « morceau » du Plaza Athénée. Joli modèle en or, imitant la forme d’un crayon à papier avec la gomme en corail amovible, permettant d’ouvrir ou fermer la mine. Présenté dans une boîte en chêne clair, tapissée de daim beige, imitant un plumier.

Sortant du magasin, où nous avions été accueillis avec sourires, décontraction et componction (pour des jeunes de 16 ans), nous tombons nez à nez avec Gérard de Villiers « Monsieur SAS » sortant de sa Silver Shadow bordeaux, toit vinyl noir, cuir noir, pare-chocs chromés, accompagné d’une superbe fille style Madame Claude de l’Avenue Foch, manteau de fourrure en lynx, provenant sans doute de chez Chombert. Tétanisés, nous nous faisons signer un autographe sur le catalogue en papier glacé de chez Bulgari. Je me souviens très bien de Gérard de Villiers souriant, le pied en mocassins noirs vernis, style Charles Jourdan, play-boy 1975, signant tant bien que mal, le stylo glissant sur le papier glacé, sur le capot de sa Rolls.
J’ai toujours le document dans mes archives.
Doublement tétanisés, nous sommes rentrés en métro, le petit sac Bulgari, en papier glacé blanc à la main. Nous jurant d’avoir une Shadow un jour.


1981, 1982, 1983, 1984 : le calendrier s’envole.
Les Shadow se démodent terriblement, entre la Spirit et Mitterand. Même son ami Roger-Patrice Pelat débarque dans la cour de l’Elysée dans sa Spirit dorée. A la grande fureur de Mitterand, avant que n’éclate l’affaire Vibrachoc.


1982 : j’ai 18 ans et dit à mon père « j’aimerai bien avoir une Rolls, même d’occasion. » « Tu te l’offriras quant tu travailleras… » me répond-t-il froidement.


Dans le tourbillon des études, du temps perdu, des soirées post disco, le souvenir des Shadow tropéziennes s’estompe. A Paris on en voit encore souvent, principalement des Shadow 2 ou la Bentley T2 de Thierry le Luron, garée proche du Bus Palladium, en double file. Je dirai même en triangle, au milieu de l’intersection de 2 rues. Epoque bénie du stationnement parisien. Ambiance du film Les Ripoux (Noiret-Lhermitte) ou Tchao Pantin (Coluche). Paris sale et pluvieux, les Rolls ternissent, ou s’empoussièrent dans l’immense parking souterrain de l’avenue Foch. Sauf que depuis le début des années 80, la Spirit a pris sa place dans le paysage parisien. Devant le palace hyper kitch (capitaux du Golfe), mobilier rouge framboise, moquettes à motifs géométriques fraise écrasée, nommé Nova Park Elysée, rue François 1er, devenu par la suite l’immeuble Cartier,
les Spirit et Spur aux couleurs new wave s’alignent. A ma grande déception, les couleurs disco (dorées, marron métal, vert pâle, moutarde, bleu Seychelles) des Shadow, laissent place au noir, argent, gris, bordeaux, bleu marine, des Spirit.


Un copain d’école faisant des extras comme chauffeur chez Service Prestige (devenu depuis membre du RREC avec Shadow grise souris et Corniche cabriolet bi-tons chocolats californienne) me propose une balade dans la Spur noire, intérieur cuir rouge, de la chanteuse Diana Ross. Départ avenue Montaigne, arrivée l’Etoile. Un peu court mais je goûte au luxe. Une mayonnaise envahit ma cervelle : Shadow ou Spirit ? Ou surtout rien car je suis encore trop jeune pour m’imaginer au volant et propriétaire d’un truc pareil.


1982 toujours, un museau oublié pointe son nez : Bentley. Enfin Rolls décide de réveiller cette marque et sort la Mulsanne Turbo. Coqueluche immédiate d’un méli-mélo de businessmen, d’artistes, escrocs de l’immobilier et play-boys sérieux à la Philippe Junot ou Thierry Roussel.


En 1985, le must c’est la Turbo R noire, intérieur cuir rouge dit Cartier, avec le téléphone Ericsson.
Toujours Match : un bedonnant doué nommé Paul-Loup Sulitzer en fait sa monture pour se rendre aux Parcs à St -Tropez. Ayant subi plusieurs crises de tétanie, j’en ai deux dernières (qui reprendront plus tard).

La première, avec la vision d’une Bentley Turbo R noire, cuir magnolia, calandre noire, neuve, garée devant l’immeuble beige aux baies vitrées1980, angle avenue Foch/Malakoff. En double file bien entendu.

La seconde, vers août 1983, à l’aéroport de Nice Côte d’Azur où assis dans le même vol que Karl Lagerfeld depuis Orly, je le guette à l’arrivée, désireux de voir dans quelle voiture il roule. Un jeune homme (J. de B.) habillé en pantalon jaune paille, veste citron pâle, le pantalon enfilé dans des bottes en cuir fauve brillant, un chapeau limite La Cage aux Folles, enfourne un chariot complet de valises, sacs et vanity Vuitton, comme on n’oserait plus les porter en 2020, dans le coffre d’une Mulsanne Turbo jaune paille verni, immatriculée à Monaco. Le chauffeur démarrant en un quart de seconde, dans un souffle qui me tétanise à nouveau.
Cette couleur digne d’un costume Cifonelli acidulé, les palmiers, le parking où entre les 505, R 18, Horizon, pointent des nez de Ferrari 308 gts et Mercedes 500 sec bleues métal, immatriculées 75… mon esprit s’enivre de l’air niçois, parfumé de lavandes, quand mon regard tombe sur l’arrière d’une Silver Spur en plaques anglaises. Je m’approche, argent métal et bordeaux brillants au soleil, la lunette arrière fortement rétrécie. Une commande spéciale Hooper, apprendrais-je plus tard.
Mon grand-père m’attend dans sa Renault 20 TX 2.2 verte foncée, velours taupe. Evidemment…

La tête dans les étoiles je me dis : « Voilà c’est la Turbo que je veux ! »


2005 : de l’eau a coulé sous les ponts, les Shadow naviguent en eaux profondes. Les Spirit surnagent
en eaux troubles et les Mulsanne portent leur nom : une mule et un âne.


En raccourci ce que je suis : donc en 2005, j’ai acheté une Mulsanne S 1989, grise foncé, cuir grissouris, vendue neuve au producteur de La Boum, Charles Gassot, au nom de sa société bien sûr, parla Franco-Britannic.

La version sans le turbo : croyez moi, la Turbo R c’est mieux. Surtout en jaune Lagerfeld !

Ceci est le début d’autres histoires de Rolls & Cie qui continuent en s’amplifiant.  

 

L’interview Pierre D’Allest

 

Président du RREC France

 

Qu’est-ce qui a motivé la création de ce club automobile et quels sont ses objectifs principaux ?

Le RREC a été créé à une époque où les regroupements liés à la voiture ancienne étaient
balbutiants, c’est à dire en 1969. Un petit nombre d’amateurs entrevoyait la nécessité de se
rassembler sous la forme d’une association.
Les objectifs principaux étaient centrés sur une forme d’entraide ainsi que le partage de
bons moments. Le côté festif étant intrinsèquement lié à l’automobile ancienne en général.

 

Quels sont les avantages de l’adhésion à votre club ?

La rencontre d’autres passionnés de la marque et d’un certain art de vivre.

Quel est le processus d’adhésion et les frais associés ?

Via les contacts divers mais aussi, et de plus en plus, via notre site Ensuite nous examinons la candidature et l’un de nos membres parraine le nouveau venu. La cotisation est de 165 euros annuels.

Comment entretenez-vous l’esprit de camaraderie et de passion automobile au sein du club ?

Normalement, ces deux effets s’auto-entretiennent si un bon esprit règne au sein d’un club. Si les membres ont une culture « automobile » ou a minima le goût des repas organisés par le club, une sorte de « grande famille » se construit au fil des années.

Quelles sont les activités et les événements organisés par votre club ?

Nous organisons chaque année 7 manifestations : 2 dîners, 1 déjeuner, l’assemblée générale suivie d’un dîner, 1 sortie de printemps, le pique-nique du Président, 1 séminaire technique et tous les 2 ans le grand rallye en France où nous convions les membres des sections belges, allemandes et suisses.

 Votre club propose-t-il des ressources telles que des ateliers de restauration, des conseils techniques ou des séances d’entretien ?

Une fois par an, le club organise une visite intitulée « séminaire technique » où un atelier de restauration, un carrossier, un spécialiste du cuir ou des boîtes automatiques, nous fait découvrir son travail.

Quel est le réseau de membres de votre club ? Est-ce local, national, international ?

Le RREC est davantage francilien et parisien que provincial 47 % des membres habitent dans les 100 km autour de Paris (dont 19 % pour Paris intra muros). Ensuite il y a un saupoudrage dans toute la France. Avec 2 pointes dans le Midi et l’Ouest de la France.

Y a-t-il des exigences spécifiques en termes de véhicules pour adhérer à votre club ?

Nous acceptons tous les Enthusiast’s ; même ceux qui n’ont pas de Rolls-Royce ou Dans les faits, la plupart des membres ont a minima 1 ou 2 voitures ; nombreux ceux en possédant 5 à 8 ou 10 voire plus…Sans compter les autres marques.

Votre club publie-t-il une revue, un bulletin d’information ou possède-t-il un site web pour partager des informations et des actualités ?

Le désir de publier un bulletin d’informations se heurte à l’emploi du temps de la plupart ainsi qu’au travail que cela représente. Toutefois, nous entretenons un site assez bien tenu et à jour (presque) 🥰

Comment votre club facilite-t-il les échanges entre les membres, comme les rencontres régulières ou les forums en ligne ?

Les rencontres se forment par affinités électives. Cela relève des réseaux de chacun.

Quelle est la politique de votre club concernant la participation des membres plus jeunes ou des générations plus récentes ?

Nous avons établi un tarif réduit ciblant les jeunes de moins de 30 ans.

Votre numéro adhérant FFVE ?

N°175

Merci à vous, Pierre D’Alles  💜

Dernières actualités